marți, 22 martie 2016

Un automne de plus

Ce matin le soleit fut de mauvaise humeur
Il laissa son pyjama jete sur les nuages, sans pudeur,
Le cafe verse sur les champs bleus des cieux
Il invita ses maitresses, des etoiles sans lueur.
Les  quatre vents commencerent a medire
La pluie s’enfouit , la neige commenca a rire.
Et la confusion se sentait partout
Et personne n’avait plus envie de rien
Les gens etaient tous ennuyes
La musique des radios n’etait pas ecoutee
Les couleurs semblaient effacees
Tous s’enfichaient de tout…
L’automne s’ installait lentement
Avec son ipocrisie grise
Avec son visage jaunatre
Avec ses dents de platre.

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